OWNI http://owni.fr News, Augmented Tue, 17 Sep 2013 12:04:49 +0000 http://wordpress.org/?v=2.9.2 fr hourly 1 115 collaborateurs s’envolent de la Sarkozie http://owni.fr/2012/05/04/115-collaborateurs-senvolent-de-la-sarkozie/ http://owni.fr/2012/05/04/115-collaborateurs-senvolent-de-la-sarkozie/#comments Fri, 04 May 2012 18:58:44 +0000 Claire Berthelemy et Pierre Leibovici http://owni.fr/?p=108823 OWNI a compilé ces mouvements de personnels très politiques en une image globale. Ils sont tous là.]]>

On connaîtra le nom du prochain Président dans quelques heures mais certains ont pris les devants. Et depuis plusieurs semaines. Dès le mois de janvier, un discret mouvement de valises et cartons a agité les cabinets ministériels et l’Élysée. Directeurs, directeurs adjoints et conseillers des ministres, ils ont quitté leur ministre ou le chef de l’État pour des postes… plus stables.

OWNI vous propose une visualisation complète de ces promotions des collaborateurs des ministres, depuis leur cabinet de départ jusqu’à leur nouvel emploi. Manière de mesurer l’ampleur des mouvements pré-élection présidentielle.

Data-départs

Au total, ce sont 115 conseillers qui prennent la poudre d’escampette vers des ambassades, des préfectures, dans l’enseignement ou l’administration, entre autres. Sur les 550 collaborateurs que comptent les différentes instances gouvernementales. Étonnamment, peu d’entre eux se sont tournés vers le privé : 16 proches des ministres ont été nommés chez Orange (le directeur adjoint du cabinet de Valérie Pécresse), Safran, la BNP (un conseiller de Valérie Pécresse aussi) – ou encore le MEDEF, le Conseil national des entreprises de coiffure et Valéo (un des conseillers d’Éric Besson). Voire la plume de Gérard Longuet à la rédaction en chef de lafranceforte.fr (là c’est du provisoire).

Hormis les départs ministère par ministère, dont le détail est disponible dans le tableau suivant (nous y avons précisé tous les détails nominatifs et administratifs), OWNI a également visualisé l’accélération de la fuite des collaborateurs. Où l’on apprend que le nombre de départs a été multiplié par quatre entre le mois de janvier et le mois d’avril – date à laquelle le comptage des départs s’arrête.

Cliquez sur l'infographie pour la voir en grand

La palme d’or du cabinet le plus démembré est attribuée au Premier ministre, avec 23 départs en quatre mois. Les collaborateurs de François Fillon ont choisi le privé (pour cinq d’entre eux) plutôt que l’administration. Les 13 autres se répartissent les préfectures, ambassades, établissements publics, mais aussi les Grands corps d’Etat ou l’enseignement et la Justice. Arrive en deuxième position le ministère des Affaires étrangères et européennes et ses 13 départs. Le Quai d’Orsay cumule à la fois un fort taux de départs et un taux maximum de départs dans une seule direction : les ambassades. On notera aussi l’annonce du dernier départ d’avril : Véronique Gomez, fille de Michel Mercier et conseillère parlementaire de son père à la Justice pour la Caisse des Dépôts et Consignations.

La majorité des mouvements se font en faveur de l’administration, au sein d’un même ministère, dans un ministère différent ou encore dans l’un des nombreux services déconcentrés de l’État. On enregistre ainsi 37 départs de ministères vers l’administration. L’autre grand mouvement des collaborateurs se fait vers le corps diplomatique, au service des ambassades avec 19 départs – dont les fameux 13 du ministère des Affaires étrangères. Ensuite 11 acteurs publics quittent les cabinets pour un établissement public et une dizaine s’engagent en préfecture.

Les bonnes volontés quittant le pouvoir étatique pour l’enseignement ou la justice sont moins nombreux avec respectivement 8 et 6 départs entre janvier et avril. Les rangs sont clairement clairsemés à l’appel des collaborateurs abandonnant leur ministre pour les grands corps de l’État et l’Elysée (une seule arrivée : le directeur adjoint du cabinet de Claude Guéant). Le seul ministère n’ayant enregistré aucun départ entre le 1er janvier et le 30 avril 2012 est celui des Sports, sous la direction de David Douillet.

La fabrique de l’info

Pour agréger les données, nous avons récupéré les annonces des différentes nominations sur le site Acteurs publics , que nous avons ensuite agencées dans plusieurs tableaux.
À noter que le ministère de l’Écologie a été rattaché à Matignon depuis le départ de Nathalie Kosciusko-Morizet, devenue porte-parole de la campagne du président-candidat. Nous avons cependant décidé de séparer les départs depuis ce ministère de ceux de Matignon pour des raisons de lisibilité.


Au design, Loguy Batonboys, à l’édition Ophelia Noor, à la rédaction Claire Berthelemy et Pierre Leibovici /-)

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Frédéric Lefebvre dissimule ses intérêts http://owni.fr/2011/05/10/frederic-lefebvre-dissimule-ses-interets/ http://owni.fr/2011/05/10/frederic-lefebvre-dissimule-ses-interets/#comments Tue, 10 May 2011 13:34:56 +0000 Guillaume Dasquié http://owni.fr/?p=62102 Chaque semaine, OWNI vérifie les déclarations d’intérêts des membres de l’exécutif. On commence avec Frédéric Lefebvre.

Le chef du gouvernement François Fillon a demandé le 16 mars dernier que ses ministres et secrétaires d’État se montrent exemplaires sur ce point. Une volonté traduite par la mise en ligne le 21 avril de documents supposés présenter tous les intérêts financiers et professionnels des membres du gouvernement.

Au total 30 fichiers PDF, de trois à quatre pages chacun, accessibles sur le portail du gouvernement, mais laissant pour la plupart d’entre eux de nombreux espaces blancs. Premier à passer l’examen de vérification, Frédéric Lefebvre, ancien assistant parlementaire de Nicolas Sarkozy, Secrétaire d’État chargé du commerce, de l’artisanat, des PME, du tourisme, des services, des professions libérales et de la consommation. Selon un procès-verbal du 24 janvier 2011, la société de lobbying et de communications PIC Conseil a octroyé 220.000 euros au Secrétaire d’État Frédéric Lefebvre, en contrepartie des parts sociales qu’il détenait jusqu’alors dans cette société.

Au cours des trois dernières années, cette structure juridique, PIC Conseil, a principalement servi d’organe de direction d’un important cabinet de lobbying, Domaines Publics, qui propose aux entreprises, moyennant prestations financières, d’influencer les décideurs publics. Un cabinet également dirigé par Jean-Michel Arnaud, qui cumule – étrangement – cette fonction à la tête de Domaines Publics avec celle de patron de Métro France (la société de journaux gratuits, également détenue par TF1). Or ces liens récents de Frédéric Lefebvre avec l’industrie du lobbying, au croisement de la presse grand public, ne figurent pas dans sa déclaration d’intérêt.

Un oubli d’autant plus étonnant qu’au mois de novembre dernier, Le Monde révélait que le zèle de PIC Conseil avait permis à Frédéric Lefebvre de recevoir 99.800 euros de dividendes au titre de l’année 2009.

Dans le document qu’il a signé, Frédéric Lefebvre a ainsi rempli de manière déloyale la rubrique n° 5, intitulée Responsabilités et activités antérieures du membre du Gouvernement durant les trois dernières années précédant la nomination dans les fonctions ministérielles actuelles. Cette rubrique doit notamment faire apparaître les activités professionnelles et les autres responsabilités (secteur associatif ; participation aux organes dirigeants d’un organisme public ou privé ou d’une société…). Au titre de l’année 2008, Frédéric Lefebvre se contente d’indiquer:

- Conseiller régional Ile-de-France
- Député des Hauts-de-Seine

Cette année-là en réalité Frédéric Lefebvre détenait encore 50 % des parts de PIC Conseil, jusqu’au 28 avril, avant que sa participation ne passe à 49,9 % après une opération financière avec son principal associé, Steven Zunz. Un homme d’affaires également à la tête du cabinet Domaines Publics. Pour s’expliquer sur ses liens avec PIC Conseil, Frédéric Lefebvre avait autrefois déclaré sur LePost.fr:

Il ne faut pas confondre les revenus de placement avec les revenus d’activité (…) Je n’ai jamais envisagé de reprendre une quelconque activité dans l’entreprise que j’ai créée.

Certes, mais si Frédéric Lefebvre a conservé jusqu’à 24 janvier 2011 des parts en nombre aussi élevé dans la société PIC Conseil (jamais moins de 49 %), veillant elle-même au développement du cabinet de lobbying Domaines Publics, c’est que l’actuel secrétaire d’État y trouvait un intérêt. Et ce dernier devrait figurer en bonne place dans la déclaration du même nom.D’autant plus que la cession de part validée à 220 000 euros le 24 janvier dépassera largement ses revenus de secrétaire d’État pour l’année 2011; preuve que depuis 2008 les activités de lobbying de ses entreprises ont prospéré parallèlement à son ascension politique.


Crédits photo: Flickr CC Horia Varlan

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Numérique : investir aujourd’hui pour la croissance d’AUJOURD’HUI ! http://owni.fr/2009/09/12/numerique-investir-aujourd%e2%80%99hui-pour-la-croissance-daujourdhui/ http://owni.fr/2009/09/12/numerique-investir-aujourd%e2%80%99hui-pour-la-croissance-daujourdhui/#comments Sat, 12 Sep 2009 07:03:10 +0000 Jean Michel Planche http://owni.fr/?p=3510

Et oui … j’y étais aussi. Je vous le dis, coté politique, je suis éclectique ou plutôt tendance numérique : je me démultiplie. Hier avec le #NouveauCentre pour parler de droits Numérique, aujourd’hui avec le gouvernement pour entendre parler de croissance et d’investissement “dans” le numérique.

Il s’agissait donc d’une journée organisée de main de maître, (en ce qui concerne le pendant “non numérique”), par le secrétariat d’état au numérique, de @NK_M, la plus célèbre twitteuse, en vrai, du gouvernement. (c’est bien elle, j’ai des preuves)

Une grande partie du gratin twito-blogo-machin était là.  La première très bonne idée de la journée est venue de Nathalie qui a annoncée en introduction que l’on pourrait twitter à coeur joie, avec le Hashtag #emprunt. Ceci nous a permis de faire une conférence dans la conférence, que vous pouvez retrouver maintenant au travers de ce petit lien.
La tâche était rude car il fallait écouter d’une oreille, filmer d’une main, twitter de l’autre, prendre des notes avec ce qui restait … bref il fallait choisir. N’écoutant que mon courage et ma volonté de bien faire, j’ai choisi :

> de twitter … parce qu’à un moment, cela devenait trop énorme, impossible de rester impassible,

> de filmer … parce qu’à certains moment, cela devenait trop énorme, il fallait vraiment une mémoire numérique de l’instant. Je ferais passer quelques liens demain.

Habitué de ce genre de réunion, j’en ressors généralement frustré de tout ce que je n’ai pas entendu et contrarié par la distance entre les théories des adeptes du yakafokon et la réalité du quotidien d’un entrepreneur de la chose numérique qui développe un champion à l’international que la France entière espère de son souffle haletant …

Mais à vrai dire, je me rends compte qu’entamant ma 25ième saison, je ne suis certainement pas devenu blasé, mais un brin pragmatique réaliste … Je n’attends plus rien, sauf qu’on continue de nous laisser faire. J’essaye de me réjouir de ce que je vois et de ce que j’entends … sans forcement essayer de voir la petite bête. (je ne combats que les grosses, qui finissent en “i”).

Alors, mes meilleurs moments sont indéniablement :

> Michel Mercier que j’ai trouvé tout simplement bon, humain quoi … Pas forcement spécialiste du sujet, mais ouvert. Un rafraichissement dans un univers parfois un peu trop triste sérieux.

    > Michel Rocard. Là je ne pensais pas dire cela un jour et encore moins lors d’un sujet concernant le numérique. J’ai la vidéo. (en cours de montage … je négocie les droits avec LeMonde.fr et LCP en ce moment ;-)))). Elle vaut son pesant de cacahouètes. Un politique qui commence par “j’étais venu là pour écouter et apprendre” ne peux pas être foncièrement mauvais.
    Ceci dit, la brio de la prestation s’est, comme d’habitude, arrêté à l’introduction. Car comme je le disais, c’est généralement sur le développement et la conclusion que l’on attend Monsieur Rocard et où cela part en vrille. Cela n’a pas manqué et dès la 5ième minute j’ai décroché. On a eu le droit à Rocard imitant Rocard, c’était énorme, mais bel et bien bon.

    > Paul Hermelin, DG de Cap Gemini Sogeti. Je dois dire que je craignais cette intervention … je la redoutais publicitaire. En fait, pas trop. Les chiffres indiqués sont excellents et franchement se suffisaient à eux même pour faire comprendre l’importance du sujet aux politiques. Après cela je ne pense pas qu’il faudra que je mouille beaucoup ma chemise pour devoir expliquer que le numérique et l’infrastructure : cela créé des emplois et de la valeur !!!
    J’aimerais bien pouvoir vous indiquer un lien vers sa présentation, mais je n’ai que cela, pour le moment.

Pour le reste, que dire en quelques mots … tout d’abord qu’il fallait y être OU qu’il fallait pouvoir suivre ce qui se disait “on line”. C’est d’ailleurs ma plus grande surprise : RIEN EN LIGNE.
Le site officielle de la journée était Twitter, hashtag : #Emprunt.
J’ai particulièrement regretté l’abscence de streaming live et surtout (excellente suggestion de www.twitter.com/mathieuweill) l’absence de feedback avec la salle qui aurait pu se faire au travers de Twitter. Je confirme, cela twittait de partout. Si on avait projetté en temps réel les résultats de la recherche du mot clé #Emprunt, cela aurait peut être changé beaucoup de chose. On aurait déjà ramené un peu de “fun” chez certains intervenants (non Mandriva, le numérique, ce n’est pas si grave ;-)) et on aurait peut être pu les faire entrer dans le fond du sujet, réorienter leurs propos, bref PARTICIPER, sans déranger et à moindre coût.

Les bémols

Bien sûr que je n’étais pas d’accord avec tout ce qui était dit.  Mais la plupart des pistes évoquées autour des sujets liés à l’infrastructure méritent d’être creusés.
Bien sûr qu’il faut être pragmatique et arrêter la démagogie de la fracture numérique. On n’en est plus là, je l’ai écris à maintes reprises, nous sommes dans une fracture des usages et de l’éducation, pas dans une fracture numérique. La démagogie qui consiste à faire croire que l’on va déployer dès demain du très haut débit pour tous et partout est néfaste. Déjà, si on n’y arrive pas dans les zones denses, où l’économie du sujet n’en est justement pas un, il n’y a aucune raison que l’on y arrive ailleurs.

Bien sûr que j’ai apprécié 95% de ce qu’à dit mon collègue Marc Simoncini de Meetic. 1 pays, 250 millions de clients, 1 langue d’un coté et de l’autre notre “difficulté Européenne”, cela me parle. Je la vis tous les jours. Mais il y aurait tellement à dire. Par contre, je ne te suis pas Marc quand tu te fais applaudir trop facilement en opposant infrastructure et services. Tu le sais très bien, les autoroutes Françaises ne servent pas qu’à faire circuler des voitures allemandes …

Et pour le reste :

Vous remarquerez que je ne vous parle pas de l’après-midi … trop de place au con-tenu et surtout à un Monsieur que j’ai beaucoup soutenu (sisi … regardez mes anciens blogs / twittes). Bon d’accord, beaucoup est un doux euphémisme. Je n’ose même pas chercher ce qu’il a dit exactement. J’ai entendu twitter autour de portail d’accès unique à la culture et je ne sais quoi. Bref, passons, j’en ai assez parlé pour le moment.

Pour le reste, je laisse l’image de la fin à Jean-Ludovic Silicani, président de l’Arcep …

Le Numérique, ça fait mal. Il faut rester dos au mur … sinon on a vite fait d’attraper un mauvais coup !

Et je me retiens de ne pas continuer dans le salace, tant la situation à la Cul-ture est désopilante … mais pas pour nous, comme d’habitude.

D’ailleurs dans la série des gens qui souffrent, j’ai essayé d’en rire, tellement la douleur de Monsieur Mandriva était perceptible (ici et jusqu’à l’extrême-onction, ici). Mais c’était difficile, car pour la première fois, je n’ai jamais croisé autant de gens déboussolés, désorientés et à terre ou bientôt à terre. Et là, cela ne me fait plus rire du tout.
Surtout qu’ils sont TOUS conscients que nous vivons à un moment unique, avec un champ des possibles incroyable et la plupart se souhaitent un destin Français d’abord !

Il s’agit d’entrepreneurs qui ont toutes les peines du monde à exister, à lever de l’argent, à se développer, à se faire payer, à passer à l’échelle internationale …

Il s’agit de journalistes qui tombent les uns après les autres et dont les rédactions passent de 100 à 20 à 2.

Hier, je me demandais si j’étais le seul à trouver qu’entreprendre dans le numérique en France TRES difficile. Je voyais tourner, autour de moi, tout le monde, hilare. Manifestement insensible à mes propres difficultés. Aujourd’hui, je suis encore là, par la force d’une volonté au service d’une grande idée, travaillée 24h sur 24, 365 jours par an, par une équipe fantastique, (Witbe) et portée par des clients qui ont su faire confiance à une “petite entreprise Française”, face à des géants Nord-Américains.
Je ne peux pas dire que nous sommes sortis d’affaire, car le sujet est ambitieux : créer un champion Français à l’international, mais on se développe plutôt très bien. Nous en sommes à 3 filiales : aux US, en Asie et au Maroc, des ventes dans 30 pays et encore un opérateur Tier1 (les plus difficiles à convaincre) en Asie qui vient juste de nous annoncer sa confiance en nos solutions.

Par contre, ce que je vois en ce moment, en France, autour de moi … c’est la catastrophe.

Suggestion :

Une simple et qui ne tient qu’à un coup de téléphone :
La prochaine fois, invitez nous (les entrepreneurs qui bloggent à temps partiel) à être créatif et donnez nous juste : une connexion Internet à très haut débit et un vidéo projecteur. On s’occupe du reste avec quelques camarades … si en plus vous avez un budget, cela ne peut pas nuire ;-)

Une plus complexe, mais qu’il faut déjà partager, pour se doter des moyens de ses ambitions :

Honnêtement, il va falloir faire VITE quelque chose pour le Numérique en France,
sinon, cela va être Waterloo … morne plaine !

Les points clefs sont simples :

  • L’infrastructure et son libre accès à tous, pour tous !
  • Les entrepreneurs

Le reste … c’est du détail et on y arrivera !

Crédit photo : moi ;-) et plus ici.

> Article initialement publié sur le blog de Jean-Michel Planche

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