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Les étudiants de l'Ecole de journalisme de Sciences-Po ont tenté de comprendre comment, et pourquoi, il était si difficile, voir impossible, de caviarder l'encyclopédie Wikipedia.

La bonne vieille pétition se décline sur Internet. Pier-Alexis Vial détaille un exemple intéressant de cette forme d'engagement. Il y est fait un usage politique de l’image, en l'occurrence les portraits des "signataires".

Si les chercheurs avaient déjà pris conscience de la nécessité de libérer leurs publications, ils avaient négligé leurs données. Les scientifiques s'aperçoivent qu'il faut organiser leur diffusion.

Conséquence de la diabolisation des réseaux sociaux par les médias et l'institution scolaire, les élèves pensent que ces outils n'ont pas leur place à l'école. C'est pourtant un enjeu majeur, celui de la construction de leur identité numérique.

Face à l'émergence timide de Google TV, les chaînes développent une stratégie défensive. Une parade contre-productive selon Olivier Ezratty, qui invite les groupes de télévision à proposer de nouveaux usages vidéo.

La monétisation des contenus, c'est le créneau qu'il faut investir pour attirer les editeurs et développer son catalogue. La nouvelle version d'Allomusic fera-t-elle de l'ombre à Deezer et Spotify?

On connaissait la carte de donneur d’organes qui permet de manifester son consentement à ce que ses organes soient prélevés post-mortem pour qu'une personne puisse en bénéficier. Et si les créateurs faisaient pareil avec leurs œuvres ?

Dans les librairies de New York, qui font au minimum 2.500 m², il y a moins de titres différents que dans un relais H d'une gare française. Petite balade dans ces rayons étrangement peu remplis.

Lula, le président brésilien sortant, était interviewé fin novembre par un groupe de blogueurs progressistes, un événement perçu par beaucoup de monde comme un grand pas dans l'élan actuel vers une organisation plus démocratique des médias brésiliens.

La guerre de demain sera-t-elle robotique? Des drones aux micro-technologies qui assisteront les soldats, il n'y a qu'un petit pas, comme l'explique Jean-Christophe Féraud.